Plusieurs couples français dont les enfants sont nés de programmes de maternité de substitution en Ukraine ne peuvent pas aller chercher leurs nouveau-nés en raison de la fermeture des frontières aux étrangers dans le cadre de la lutte contre le coronavirus. La situation devient de plus en plus douloureuse et discutable en tenant compte du fait que le ministère des affaires étrangères français refuse de fournir une aide à ses ressortissants.
Les parents font activement pression sur les médias et engagent des avocats pour obtenir du ministère des affaires étrangères une note verbale. En réalité, tout semble beaucoup plus compliqué. Y a-t-il rupture entre la France et l’Ukraine au niveau législatif? – Oui, dans une certaine mesure. Pour obtenir une telle autorisation, une condition est nécessaire. Si la maternité de substitution n’est pas reconnue dans le pays de résidence des parents d’intention, l’obtention d’un tel document s’avère impossible, ou requiert d’y consacrer beaucoup de temps. Il serait merveilleux pour la France de suivre l’exemple d’Israël, des États-Unis et du Royaume-Uni, qui octroient une telle note verbale sans aucune difficulté.
Les enfants restent privés de soins parentaux car les parents n’ont pas de la capacité physique d’exercer leurs droits et obligations dans le contexte de pandémie de Covid 19. Souffrent également ceux qui ont prévu de faire le voyage pour assister à l’accouchement.
Les parents s’unissent, partagent leurs expériences au sein de groupes spécialement conçus sur les réseaux sociaux, espérant ainsi être entendus. Ils se soutiennent mutuellement et envisagent toutes les options possibles pour voir leurs enfants le plus vite possible.
Les Français, les représentants des agences et des cliniques de médecine reproductive de l’Ukraine, ainsi que tous les acteurs concernés transmettent sans relâche pétitions et courriers aux différents ministères, pour que les parents puissent rejoindre au plus vite leurs bébés en Ukraine.
Nous souhaitons vivement que l’épidémie connaisse une évolution favorable, et que les interdictions de circulation soient levées dans les meilleurs délais afin que vous puissiez rapidement vous rendre sur place et accueillir vos bébés. N’oublions pas la sagesse de Winston Churchill : «Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal, c’est le courage de continuer qui compte».
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